Forum de Fuu-chan [ Yunfa ]

Avez vous déja une idée entiere de votre forum ou pas du tout?
Ben, j'veux un pensionnat quoi ! (xD) En fait, je pense faire un pensionnat japonais exclusivement pour garçon (donc forum yaoi/NC-17). Je ne sais pas trop encore où il va se trouver, mais j'aimerais que ce soit près d'une plage (ce sera sûrement sur une île japonaise du coup). Je pense y mettre régulièrement des scénarios (golden week, bal du printemps, randonnée pédestre, sortie je ne sais où, ect. Ces scénarios permettront aux joueurs de sortir du pensionnat car je rajouterais un catégorie pour la ville, où ils n'ont pas le droit d'aller en dehors des scénarios).

Avez vous déja créer un forum? [ pour voir votre niveau]
Oui, j'en ai deux, un du genre fantastique et un autre du genre futuriste.

Qu'attendez vous du RPG maker?
Mon problème là-dedans est principalement l'histoire. Je ne veux pas
d'un pensionnat classique, comme les autres. J'aimerais un truc
original, un pensionnat qui a un "petit plus". Je voudrais y mêler art
et musique, mais je ne sais pas comment faire (les pensionnats c'est
pas mon truc lol) !
Aussi, j'aimerais qu'il m'aide à organiser mon pensionnat (les rubriques), et m'aider pour les scénarios car je ne sais pas si mon idée est bonne (niveau organisation surtout), et surtout donner de l'originalité à mon forum.

Autre?
Merci d'avance au RPG maker qui m'aidera, et j'espère ne pas être trop floue ! ^^'

Non non, j'ai tout mon temps, ne t'inquiètes pas ! ^^

Voilà, c'est ça ! ^^
Je dois demander un écrivain, c'est ça ? =o
Ou alors je vois avec toi d'abord ?

Des choses que je veux éviter ? Rien, je crois...voyons voir... *dur dur de réfléchir xD*

Je ne veux pas de filles dedans (lol), et puis pas une pension genre "tout est rose, tout est beau, wahouuu que j'aime être là ! ". En fait, je pense que j'aimerais plus une pension inégalitaire, avec une sorte de "guerre de clans", par exemple, d'un côté les plasticiens, d'un autre les musiciens, ou alors d'un côté les riches et de l'autre les pauvres, avec toujours au milieu des gens neutres.

Oui je sais, mais je prend le risque ! Un autre de mes forums est yaoi et il marche bien. Je pense que du moment qu'un forum est original, on peut le faire fonctionner. Et puis, ce ne sera pas non plus un host club hein, même si les scènes explicites seront autorisées, je ne veux pas qu'il n'y est que ça ! X)

Bref, oui j'aimerais bien qu'elle soit spécialisée. Je pensais Musique et Art, mais il serait peut être mieux d'ajouter encore un ou deux trucs non ? J'avais pas pensé au théâtre, c'est une très bonne idée ! =)

Ouais, c'est bien ça ! =D

Une école d'art avec plusieurs options : musique, théâtre, arts plastique, ce qui nous donneras des musiciens, comédiens et plasticiens.
Après, dans chaque truc ça peut être varié, déjà niveau musique y'a beaucoup d'instruments, en théâtre il y a la tragédie, la comédie, l'absurde, les sketchs, et les plasticiens, la peinture, la sculpture, le dessin.

Avec donc des riches et des boursiers ! =)

Maintenant il me faudrait une "excuse" pour que ce soit exclusivement des garçons. C'est plutôt lié à l'histoire ça, j'imagine.

xD

Voyons voir...le directeur est un pervers homosexuel. u_u (xD)
Je réflechis...Ha je sais ! Pourquoi ne pas dire que le directeur a une soeur jumelle, et que elle a créé la même école mais pour filles ?
Nan, c'es pourri ça... >.>

En fait, je sais même pas si y'a vraiment besoin d'excuse. Ca existe encore ce genre d'école non ? On pourrait dire que c'est une école qui existe depuis des générations, et que la famille ne voulait pas changer les "coutumes", et donc ne l'a jamais mixté (je sais pas si ce mot existe ! xD).

EDIT : June m'a donné une idée sinon, que je trouve excellente. Cela peut se dérouler à une époque ou les écoles n'étaient pas encore mixtes ?

Hum, une vieille école dans les année 1850, au Japon. Attend, je fais des recherches sur le net.

En fait, c'est trop compliqué, il faudrait faire carrément un court aux membres rien que pour le théâtre japonais de cette époque. Sinon il faudrait que cela se produise en Europe...

Il me reste deux options :
1. Pensionnat en 1850, en Europe (Angleterre ou France par exemple).
2. Pensionnat se déroulant dans les années actuelles au Japon, ou le directeur garde la tradition familiale de farder le pensionnat masculin.

A ton avis, quel est le meilleur choix ?

Gros dilemne... *réfléchit, réfléchit*

Ou alors, un pensionnat japonais qui étudie l'art européen !

Oui, je garde cette idée ! Je pense que c'est la meilleure ! =)

Comme je pensais faire seulement des rubriques "fermées", c'est-à-dire que des lieux dans le pensionnat, je me suis dit qu'il fallait mettre en place des scnéarios pour faire sortir les personnages des membres.

Par exemple, un voyage en Angleterre (le premier truc qui me vient à l'esprit ! xD), ou alors une autorisation de sortir en ville pour un jour férié ou pour le golden week, ou encore une randonnée pédestre...

Sinon, mettre en place des sortes de fêtes. Comme une élection du mister nomdupensionnat, une fête de fin d'année, une fête pour la fête du printemps...ect.

D'accord ! =)
Je vais rédiger un truc puis après je te montrerais, que tu me dises ce que tu en penses, ce que je dois rajouter en enlever, d'accord ? =)

Voilà, j'ai rédigé un petit truc vite fait, mais c'est assez fouillit et je pense que y'a des choses à développer. J'ai mit "machin" pour le nom de la pension parce que je n'ai pas encore trouvé ! =p




L'histoire de cette école est avant tout l'histoire d'une famille, la famille Takimohaji. Sans elle, jamais cette pension n'aurait pu ouvrir ses portes. En effet, elle n'était au départ qu'une petite famille artisanne, travaillant dans le textile, à l'aide de ses nombreux enfants. Un jour, elle eut la chance de pouvoir produire à la cour de l'empereur – cela remonte à l'erre d'Edo. Oui, ce fut à partir de ce moment que la famille fut fortune. Avec le temps, elle
put subvenir sans difficulté à ses besoins, et même développer leur petite entreprise familiale. Les années passèrent et la famille s'enrichissa. L'entreprise se transmet de père en fils, on dit qu'elle détient un secret pour manipuler avec une telle agilité la soie et la laine. Les années s'écoulèrent, encore et encore. Jusqu'au jour ou Kana Takimohaji vit le jour. Ce petit bambin avait été dès sa naissance prédestiné à prendre en main l'entreprise
familiale, comme le fit jadis son père, et avant lui, son arrière grand-père, et ainsi de suite. Le jeune homme appris énormément de choses, étudia beaucoup, notamment les langues étrangères. Naquit également une petite fille. Il fut rapidement très proche de sa petite soeur. Kana adorait jouer avec elle, lui apprendre les choses qui lui-même avait appris. Il était un grand frère protecteur.

Un jour, son père l'emmena en Europe. Kana n'en fut pas ravis aux premiers abords. Bien que ce voyage lui permettait de s'amiliorer en langues, il n'aimait pas l'idée de quitter sa soeur pendant un mois entier. Cependant,
ce séjour eut un effet tout à fait surprenant sur le jeune homme. Son premier contact avec l'art européen lui fit tilt, immédiatement. Il s'y interessa beaucoup, et finalement, il trouva son séjour trop court. Il put raconter de nombreuses histoires à sa petite soeur, et lui parler de nombreux tableaux. Quant à elle, elle lui conta ses aventures périlleuses avec le tissus. Pendant ce mois passé, elle avait appris à coudre, et avoua à son frère adorer cela.

Le temps sécoula encore, et plus il passait, et moins Kana désirait reprendre l'entreprise. Il ne cessait de penser à l'Europe, à son architecture, sa peinture, ses histoires, ses mélodies...

Kana fut fiancé, par mariage arrangé, avec une dame fort jolie, de nationalité française, ce qui, évidemment, charma immédiatemment le jeune homme. De ce mariage résultat un enfant nommé Hiragii. Inévitablement, Kana lui conta tout ce qu'il avait appris sur l'Europe, tout ce qu'il y avaitr vu. L'enfant grandit plus dans cet univers que dans celui dans lequel il vivait, c'est-à-dire l'art japonais.

Un jour, Kana affirma à son père ne pas vouloir prendre sa place, et ouvrir un pensionnat dans lequel il enseignerait l'art européen. Il y mêlerait peinture, théâtre et musique. Il y eut une grande dispute, pendant plusieurs semaines, Kana et son père restèrent en froid. Et, un matin, la petite soeur de Kana décida d'aller voir leur père, et de lui annoncer clairement que c'est elle qui reprendrait le flambeau familial. Le père refusa tout d'abord, la tradition se briserait, si c'était une femme qui prendrait la descendance ! Mais en observant son fils raconter de plus belle ses histoires d'art européen à Hiragii, son petit fils, il finit par céder, et même par donner les moyens financiers à Kana pour qu'il puisse construire son école. Il décida de la situer sur une des îles Oki, plus précisément sur l'île Chiburi.

Ainsi, quelques années s'écoulèrent, et, enfin, le chantier se termina. Malheureusement, le père de Kana décéda avant qu'il ne puisse voir le résultat de tant d'efforts. A 41 ans, Kana admirait fièrement sa pension, quand son fils lui déclara vouloir étudier dans cette école. Son père
accepta immédiatemment, et même de façon hâtive, tellement il était heureux que son son fils soit touché, lui-aussi, par l'art européen.

Nous sommes en 1850, et la pension machin ouvre ses portes...